# HG changeset patch # User William Dodé # Date 1253011372 -7200 # Node ID 0d743c1cf1010d55ca14cee1cf6611b74acc392f # Parent 0298bccbb8ee390072bd75aff32cf89cdda46547 french : small corrections on ch02, place des diff -r 0298bccbb8ee -r 0d743c1cf101 fr/ch02-tour-basic.xml --- a/fr/ch02-tour-basic.xml Sun Sep 13 14:08:00 2009 +0200 +++ b/fr/ch02-tour-basic.xml Tue Sep 15 12:42:52 2009 +0200 @@ -14,7 +14,7 @@ Windows - La meilleur version de Mercurial pour Windows est + La meilleure version de Mercurial pour Windows est TortoiseHg, qui peut être téléchargée ici : http://bitbucket.org/tortoisehg/stable/wiki/Home. Ce logiciel n'a aucune dépendance exterieure; il fonctionne et @@ -96,18 +96,18 @@ &interaction.tour.help; Pour un niveau d'informations encore plus détaillé - (ce dont vous aurez rarement besoin), exécuter hg + (ce dont vous aurez rarement besoin), exécutez hg help . L'option est l'abréviation de , et indique à Mercurial - d'ficher plus d'informations que d'habitude. + d'afficher plus d'informations que d'habitude. Travailler avec un dépôt - Avec Mercurial, tout se déroule au sein du + Avec Mercurial, tout se déroule au sein d'un dépôt. Le dépôt d'un projet contient tous les fichiers qui appartiennent au projet. @@ -130,7 +130,7 @@ Un avantage de la commande hg clone est que, comme nous l'avons vu ci dessus, elle nous - permet de faire de cloner les dépôts à travers le réseau. Un autre + permet de cloner les dépôts à travers le réseau. Un autre est qu'elle se rappelle d'où a été cloné un dépôt, ce qui est utile quand on veut mettre à jour le clone. @@ -204,25 +204,25 @@ changeset : Ce champ contient un nombre, séparé par deux points (:), d'une chaine hexadécimale. Il - s'agit en fait d'identifiants d'un changeset. Il y a - deux identifiants car le numéro de la révision est plus court et plus à + s'agit en fait d'identifiants d'un changeset. Il y a + deux identifiants car le numéro de la révision est plus court et plus facile à saisir qu'une séquence hexadécimale. user : L'identité de la personne - qui a créée ce %%% laisser le terme anglais car il sera affiché - changeset. C'est un champ libre de forme, mais la plupart du + qui a créé ce + changeset. C'est un champ libre de forme, mais la plupart du temps il contient le nom et l'email de la personne. date : La date et l'heure à - laquelle le \textit{changeset} a été créé, ainsi que le fuseau horaire dans + laquelle le changeset a été créé, ainsi que le fuseau horaire dans lequelle il a été créé. (La date et l'heure sont locales à ce - \textit{fuseau}, elles indiquent donc quelle date et heure il était - pour la personne qui a créé ce changeset. + fuseau, elles indiquent donc quelle date et heure il était + pour la personne qui a créé ce changeset. résumé: La première ligne du - message que le créateur a associé à son changeset pour le décrire. + message que le créateur a associé à son changeset pour le décrire. - Certains changesets, comme le premier de la + Certains changesets, comme le premier de la liste ci-dessus ont un champ tag. Le tag est une autre façon d'identifier un changeset en lui donnant un nom simple à retenir. (Le tag nommé tip est spécial : il fait toujours @@ -234,14 +234,14 @@ La figure fournit une représentation graphique de l'historique du dépôt hello - , pour rendre plus facile de voir dans quelle direction + , pour voir plus facilement dans quelle direction l'historique se déroule. Nous reviendrons régulièrement sur cette représentation dans ce chapitre et ceux qui suivent.
- Graphical history of the <filename - class="directory">hello</filename> repository + Historique graphique du dépôt <filename + class="directory">hello</filename> XXX add text @@ -255,18 +255,18 @@ Comme l'anglais est réputé pour être un langage maladroit, et que l'informatique est la source de bien des erreurs de terminologie (pourquoi utiliser un seul terme quand quatre feront l'affaire ?), la - gestion de version a une variété de mots et de phrases qui veulent dire + gestion de révisions a une variété de mots et de phrases qui veulent dire la même chose. Si vous discutez d'historique de Mercurial avec d'autres personnes, vous constaterez que souvent, le mot changeset est contracté simplement en change ou (à l'écrit) - cset, et même parfois un changeset + cset, et même parfois révision, abrégé en rev. Bien que le mot que vous utilisez pour désigner le concept de changeset importe peu, l'identifiant que vous utilisez pour désigner un changeset spécifique - a une grande importance. Rappelez vous que le champ changeset affiché par la - commande hg log identifie un changeset à + a une grande importance. Rappelez vous que le champ changeset affiché par la + commande hg log identifie un changeset à la fois avec un numéro de révision et une séquence hexadécimale. @@ -274,24 +274,24 @@ valable dans ce dépôt, La séquence hexadécimale est un identifiant permanent, et invariant qui - pourra toujours être associé au changeset exact de chaque + pourra toujours être associé au changeset exact de chaque copie de votre dépôt. La distinction est importante. Si vous envoyez un email à quelqu'un en parlant de la révision 33, il est très - probable que sa révision 33 ne sera pas la même + probable que sa révision 33 ne sera pas la même que la votre. La raison de ceci est que le numéro de révision dépend de l'ordre dans lequel les modifications sont arrivées dans le dépôt, et il n'y a aucune garantie que les mêmes changements soient arrivés dans le même ordre dans différents dépôts. Trois modifications - a,b,c peuvent aisément apparaitre dans un dépôt - comme 0,1,2, et dans un autre comme 0,2,1 + a, b, c peuvent aisément apparaitre dans un dépôt + comme 0, 1, 2, et dans un autre comme 0, 2, 1 . Mercurial utilise les numéros de révision uniquement comme des raccourcis - pratiques. Si vous devez discuter d'un \textit{changeset} avec quelqu'un, - ou identifer un \textit{changeset} pour une quelconque raison (par exemple, - un rapport de \textit{bug}), utilisez la séquence hexadécimale. + pratiques. Si vous devez discuter d'un changeset avec quelqu'un, + ou identifer un changeset pour une quelconque raison (par exemple, + un rapport de bug), utilisez la séquence hexadécimale. @@ -306,7 +306,7 @@ &interaction.tour.log-r; Si vous voulez voir l'historique de plusieurs révisions - sans avoir à les énumérer, vous pouvez utiliser la intervalle + sans avoir à les énumérer, vous pouvez utiliser un intervalle de numérotation qui vous permet d'exprimer l'idée je veux toutes les révisions entre $a$ et $b$, inclus @@ -314,8 +314,8 @@ Mercurial respecte aussi l'ordre dans lequel vous spécifiez les révisions, ainsi hg log -r 2:4 - affichera 2,3,4 alors que hg - log -r 4:2 affichera 4,3,2. + affichera 2, 3, 4 alors que hg + log -r 4:2 affichera 4, 3, 2. @@ -325,15 +325,15 @@ est suffisant si vous savez déjà ce que vous cherchez. En revanche, vous aurez probablement besoin de voir une description complète du changement, ou une liste des fichiers modifiés si vous - cherchez à déterminer qu'un changeset est bien celui que vous - recherchez. L'option \hgopt{-v} de la commande hg + cherchez à déterminer qu'un changeset est bien celui que vous + recherchez. L'option de la commande hg log (ou ) vous donne ces informations supplémentaires. &interaction.tour.log-v; Si vous voulez voir à la fois la description - et le contenu d'une modification, ajouter l'option (ou ). Ceci affiche le contenu d'une modification comme un diff unifié @@ -370,7 +370,7 @@ La plupart des options disposent de noms abrégés. Aussi, au lieu d'utiliser , vous pouvez utiliser . - (Les options qui n'ont pas de noms abrégés sont généralement + (Les options qui n'ont pas de nom abrégé sont généralement rarement utilisées). Les noms complets commencent par deux @@ -380,7 +380,7 @@ Les noms des options sont cohérents entre les commandes. Par exemple, chaque commande qui accepte - un changeset ID ou un numéro de révision accepte aussi et comme arguments. @@ -397,14 +397,14 @@ ). - Option naming consistency + Cohérence dans le nom des options Presque toujours, les commandes de Mercurial utilisent - des noms d'options cohérentes pour référer à des concepts identiques. - Par exemple, si une commande concerne les changesets, vous les + des noms d'options cohérentes pour se référer à des concepts identiques. + Par exemple, si une commande concerne les changesets, vous les identifierez toujours avec l'option . Cette utilisation cohérente des noms d'options permet de mémoriser plus - facilement quelles options accepte une commande. + facilement quelles options acceptent une commande. @@ -416,8 +416,8 @@ commandes pour consulter l'historique de Mercurial, regardons comment faire des modifications et les examiner. - La première chose que nous allons faire c'est isoler notre - expérience dans un dépôt à part. Nous allons utiliser la commande La première chose que nous allons faire est d'isoler notre + exercice dans un dépôt à part. Nous allons utiliser la commande hg clone, mais nous n'avons pas besoin de faire une copie de dépôt distant. Comme nous avons déjà une copie locale, nous pouvons juste faire un clone de celle-ci à la place. C'est beaucoup plus @@ -428,7 +428,7 @@ ce cas, Mercurial utilisera des liens physiques pour effectuer des partages copie-lors-des-écritures de ses métadonnées internes. Si cette explication ne signifie rien pour vous, ne vous inquietez pas : tout ceci se passe de - manière transparente et automatiquement. Vous n'avez pas du tout besoin de + manière transparente et automatique. Vous n'avez pas du tout besoin de comprendre ceci.. &interaction.tour.reclone; @@ -439,7 +439,7 @@ copies locales temporaires pour créer des bacs à sable pour chaque tâche sur laquelle vous souhaitez travailler. Ceci vous permet de travailler sur plusieurs choses en parallèle, - chacune isolée les unes des autres en attendant que ces tâches + chacunes isolées les unes des autres en attendant que ces tâches soient finies et que vous soyez prêt à les réintégrer. Parce que les copies locales sont peu coûteuses, il est très rapide de créer ou détruire des dépôts dès que vous n'en avez plus @@ -475,8 +475,8 @@ hello.c. Nous n'avons pas besoin d'informer Mercurial que nous allons modifier un fichier avant de commencer à le faire, ou que nous avons modifié un - fichier après avoir commencé à le faire, il est capable de découvrir ça - tout seul. + fichier après avoir commencé à le faire, il est capable de le découvrir + tout seul. C'est déjà pratique de savoir que nous avons modifié le fichier hello.c, mais nous préférerions savoir @@ -501,7 +501,7 @@ status et hg diff pour voir les modifications effectuées, jusqu'à ce que nous soyons assez satisfaits pour décider d'enregistrer notre travail dans un - \textit{changeset}. + changeset. La commande hg commit vous laisse créer une nouvelle révision, nous désignerons généralement @@ -516,9 +516,9 @@ pas garanti qu'elle réussisse du premier coup. En effet, Mercurial enregistre votre nom et votre adresse avec chaque modification que vous effectuez, de manière à ce que vous soyez capable (ou d'autres - le soient) de savoir qui a fait quelle modification. Mercurial essaye + le soient) de savoir qui a fait telle modification. Mercurial essaye automatiquement de découvrir un nom d'utilisateur qui ait un minimum - de sens pour effectuer l'opération de commit avec. Il va essayer + de sens pour effectuer l'opération de commit avec. Il va essayer chacune des méthodes suivantes, dans l'ordre : @@ -544,14 +544,14 @@ Enfin, Mercurial interrogera votre système pour trouver votre nom d'utilisateur local ainsi que le nom de la machine hôte, et il fabriquera un nom d'utilisateur à partir de - ces données. Comme il arrive souvent que ce genre de noms soit + ces données. Comme il arrive souvent que ce genre de nom soit totalement inutile, il vous préviendra en affichant un message d'avertissement. Si tous ces mécanismes échouent, Mercurial n'exécutera pas la commande, affichant un message d'erreur. Dans ce cas, il ne - vous laissera pas effectuer de commit tant que vous n'aurez pas + vous laissera pas effectuer de commit tant que vous n'aurez pas défini un nom d'utilisateur. Vous devriez penser à utiliser la variable @@ -560,7 +560,7 @@ changer le nom d'utilisateur par défaut. Pour une utilisation normale, la manière la plus simple et robuste d'opérer est de créer un fichier .hgrc, voir ci-dessous pour les détails + role="special">.hgrc, voir ci-dessous pour les détails à ce sujet. @@ -576,7 +576,7 @@ <quote>Home directory</quote> sous Windows - Quand on parle de répertoire home, sur une version + Quand on parle de répertoire home, sur une version anglaise d'une installation de Windows, il s'agira habituellement d'un répertoire nommée comme votre nom dans C:\Documents and Settings. Vous pouvez trouver de quelle répertoire @@ -609,7 +609,7 @@ pour votre username, car cette information est destinée à d'autres personnes et non à être interprétée par Mercurial. La convention que la plupart des personnes - suivent est d'utiliser leurs noms suivies de leurs adresses emails, + suivent est d'utiliser leur nom suivie de leur adresse email, comme montré ci-dessus : Le mécanisme interne du serveur web intégré à Mercurial, @@ -621,9 +621,9 @@ - Rédiger un message de \textit{commit} - - Lorsqu'on effectue une opération de commit, Mercurial + Rédiger un message de <quote>commit</quote> + + Lorsqu'on effectue une opération de commit, Mercurial lance automatiquement un éditeur de texte pour permettre de saisir un message qui décrira les modifications effectuées dans cette révision. Ce message est nommé le message de commit. @@ -651,19 +651,19 @@ Mercurial ignore les lignes qui commencent avec HG:, il ne les utilise que pour nous indiquer quels fichiers modifiés il se - prépare à \textit{commiter}. Modifier ou effacer ces lignes n'a - aucune conséquence sur l'opération de commit. + prépare à commiter. Modifier ou effacer ces lignes n'a + aucune conséquence sur l'opération de commit. - Rédiger un message \textit{approprié} + Rédiger un message approprié Comme hg log n'affiche - que la première ligne du message de commit par défaut, il est souvent - considéré comme une bonne pratique de rédiger des messages de commit + que la première ligne du message de commit par défaut, il est souvent + considéré comme une bonne pratique de rédiger des messages de commit qui tiennent sur une seule ligne. Voilà un exemple concret de message - de commit qui ne suit pas cette directive, et + de commit qui ne suit pas cette directive, et qui a donc un résumé peu lisible. @@ -675,7 +675,7 @@ A ce sujet, il faut noter qu'il n'existe pas de règle absolue dans ce domaine. Mercurial lui-même n'interprète pas les - contenus des messages de commit, ainsi votre projet est libre de + contenus des messages de commit, ainsi votre projet est libre de concevoir différentes politiques de mise en page des messages. Ma préférence personnelle va au message court, mais @@ -693,20 +693,20 @@ Une surprise pour les utilisateurs habitués à Subversion Comme n'importe quel autre commande de Mercurial, si - vous soumettez pas de manière explicite les noms des fichiers à - committer à la commande hg commit, elle + vous ne soumettez pas de manière explicite les noms des fichiers à + committer à la commande hg commit, elle va travailler sur l'ensemble du répertoire de travail. Soyez conscient de ceci si vous venez du monde Subversion ou CVS, car vous pourriez - attendre qu'elle opère uniquement le répertoire courant et ses sous + vous attendre à ce qu'elle opère uniquement sur le répertoire courant et ses sous répertoires. - Annuler un \textit{commit} + Annuler un <quote>commit</quote> Si, en rédigeant le message, vous décidez que - finalement vous ne voulez pas effectuer ce commit, il suffit - de quitter simplement l'éditeur sans sauver. Ceci n'aura aucune + finalement vous ne voulez pas effectuer ce commit, il suffit + de quitter simplement l'éditeur sans sauvegarder. Ceci n'aura aucune conséquence sur le dépôt ou les fichiers du répertoire de travail. @@ -714,10 +714,10 @@ Admirer votre travail - Une fois que votre \textit{commit} est terminé, vous + Une fois que votre commit est terminé, vous pouvez utiliser la commande hg tip - pour afficher le \textit{changeset} que vous venez de créer. Cette - commande produit une sortie à l'écran qui est identique à celle du + pour afficher le changeset que vous venez de créer. Cette + commande produit une sortie à l'écran qui est identique à celle du hg log, mais qui n'affiche que la dernière révision du dépôt. @@ -781,7 +781,7 @@ Comme vous le voyez avec une sortie avant et après de la commande hg tip, nous avons réussi à récupérer aisément les modifications dans notre dépôt. Il reste néanmoins - quelque chose à faire avant de placer ces modifications dans l'espace de + quelque chose à faire avant de retrouver ces modifications dans l'espace de travail. @@ -796,14 +796,14 @@ la commande hg incoming, et avant que vous ne décidiez de récupérer ces modifications, quelqu'un peut ajouter de nouvelles révisions dans le dépôt distant. Ce qui signifie que vous - récupérez plus de révision que ce que vous aviez regardées en utilisant + récupérez plus de révisions que ce que vous aviez regardées en utilisant la commande hg incoming. Si vous voulez seulement récupérer ce que vous aviez - vérifier à l'aide de la commande hg - incoming, ou que pour d'autres raisons vous souhaitiez ne + vérifié à l'aide de la commande hg + incoming, ou que pour d'autres raisons vous ne souhaitiez récupérer qu'un sous ensemble des révisions supplémentaires - disponibles, indiquant simplement les modifications que vous souhaitez + disponibles, indiquez simplement les modifications que vous souhaitez récupérer par leurs ID de révision, soit hg pull -r7e95bb. @@ -827,7 +827,7 @@ Il peut sembler un peu étrange que la commande hg pull ne mette pas à jour l'espace de travail automatiquement. Il y a en fait une très bonne raison à cela : vous - pouvez utilisez la commande hg update + pouvez utiliser la commande hg update pour mettre à jour votre espace de travail à l'état dans lequel il était à n'importe quelle révision de l'historique du dépôt. Si vous aviez un espace de travail contenant une ancienne @@ -862,15 +862,15 @@ enfant. Pour mettre à jour l'espace de travail d'une révision - particulière, indiquez un numéro de révision ou un \textit{changeset - ID} à la commande hg update. + particulière, indiquez un numéro de révision ou un changeset + IDhg update. &interaction.tour.older; Si vous ne précisez pas de manière explicite de numéro de révision la commande hg update mettra à jour votre espace de travail avec le contenu de la révison - \textit{tip}, comme montré dans l'exemple ci dessus lors du second + tip, comme montré dans l'exemple ci dessus lors du second appel à hg update. @@ -907,7 +907,7 @@ répertoire de travail alors que quelqu'un d'autre travaille dessus, nous risquerions de perturber son travail. - Qu'est ce qui se passe lorsque vous essayez de récupérer + Que se passe-t'il lorsque vous essayez de récupérer ou de transférer vos modifications et que le dépôt cible a déjà reçu ces modifications ? Rien de bien excitant. @@ -959,7 +959,7 @@ &interaction.tour.outgoing.net; Dans cet exemple, nous allons voir quels changements - nous pourrions transférer vers le dépôt distant, mais le dépôt est, + nous pourrions transférer vers le dépôt distant, mais le dépôt n'est, de manière tout à fait compréhensible, pas configuré pour accepter des modifications d'utilisateurs anonymes. @@ -1005,7 +1005,7 @@ utiliser Mercurial sur un nouveau projet, ce qui fait aussi de ses points forts. Travailler avec une gestion de révision devient très facile, nous pouvons même l'utiliser pour les plus petits projets où - nous aurions probablement jamais penser utiliser un outils aussi + nous aurions probablement jamais pensé utiliser un outil aussi complexe.